Voici ce que j’écrivais déjà dans une carte blanche parue en 2018.
Aujourd’hui, la crise économique et sociale conséquence de la montée irréfléchie des coûts de l’énergie nous démontre les méfaits d’une libéralisation à outrance.
L’Etat doit rester un rempart pour éviter toutes spéculations sur les biens essentiels.
Sans régulation, c’est la jungle des oligopoles qui s’impose !
La Démocratie n’est pas compatible à cette surenchère des profits spéculatifs.